Et, finallement je n'ai jamais était aussi seule perdue et malheure a l'intérieur de moi. Je n'arrive plus a pleurer. Quelques larmes. Mais les gros chagrins ne vienne plus. Et, pourtant. J'ai besoin, besoin d'èxploser. Alors je saute sur n'importe qu'elle occasion pour crier, courir, danser. Je me sens mal. Quelques personne me donne leurs souffle. Et, je pense qu'ils me deviennent vital. Mes nuits son un enfer et chaque soir. C'est la peur au ventre que je rejoins le sommeil.

J'ai appris l'amour, la vie, la mort, le bonheur, j'ai appris qui j'étais, la force que je peut avoir en moi. .

Sa fait mal, très mal de réaliser certaines chose.On ma dit que dans tout malheur il y a un peut de bonheur et je crois sincèrement que dans tout ce malheur qui viens de défiler sous mes yeux j'ai pris conscience de beaucoup. J'ai réaliser qui je serais plus tard ce que sera ma vie. J'ai déja trouver qui m'accompagnera au fil des jours jusqu'à la fin je le sais, depuis le début je crois. Voilà pourquoi j'ai autant fuie ce qui se dresser devant moi certainement...
C'est une fille, et je suis une fille aussi. Sa fait mal de réaliser qu'on ne fera jamais ce que papa et maman on toujours réver depuis que j'ai vue le jours. Difficile d'accepter que non ma mère ne me verra jamais dans une église dire " Oui "  alors qu'un soir de dispute en pleurant elle avais laisser échapper quelques mots a se sujet.
Mais je ne fuirais pas, c'est fini car aimer est un sentiment magnifique qui donne des ailes, qui donne envie de vivre d'aller toujours plus loin, que se soit une fille ou un garçon ne change rien finalement. Je reste persuader que sur terre nous avons tous quelqu'un qui nous attend, quelqu'un pour qui nous sommes fait. J'ai trouver mon exception, mon idéale, la personne qui fait battre mon cœur si fort que parfois sa fait mal, celle qui m'éloigne de tout qui enlève toute la souffrance qui c'est installer en moi.

J'ai appris le partage, la souffrance a deux, la passion, la douleur, l'amour, la peur ...